Comment repérer les fake news ?
Les fake news pullulent, surtout en ligne, où elles se propagent à la vitesse d’un clic. Selon le Baromètre des médias 2025, au moins la moitié des Français disent être confrontés à plusieurs « fake news » chaque semaine sur leurs réseaux sociaux ! Heureusement, certains indices permettent de les détecter et de préserver notre esprit critique.
Contexte géopolitique tendu, réseaux sociaux saturés… difficile parfois de distinguer le vrai du faux. Les fake news, conçues pour manipuler ou tromper, exploitent nos émotions et nos biais cognitifs. Elles peuvent influencer nos opinions, nos décisions ou notre comportement. Mais certains indices ne trompent pas. Titres et/ou raccourcis racoleurs, images détournées, sources douteuses : autant de signaux à repérer. Vous ne savez plus à qui faire confiance ? Vous voulez savoir comment repérer les fake news ? Pas de panique : dans ce guide, on vous donne les clés pour traquer les infox et garder l’esprit clair.
Fake news, désinformation, mésinformation : de quoi parle-t-on ?
En anglais, l’expression « fake news » signifie « fausse information ». On lui préfère parfois en français le mot « infox » (contraction de « info » et « intox »). Ces contenus sont souvent habillés de titres accrocheurs, du type « La vérité sur… » ou « Ce que les médias cachent… », incitant aux clics et conçus pour semer le doute. Derrière cette façade, l’objectif est rarement innocent : manipuler l’opinion, faire du profit, ou influencer des décisions.
Quand la fabrication du mensonge est volontaire et organisée, on parle de « désinformation ». Certains États ou groupes militants orchestrent régulièrement des campagnes massives, comme le font les « usines à trolls », pour brouiller les repères et orienter les convictions. On se souvient, en matière de fake news, de l’exemple de « Doppelgänger », cette opération menée par la Russie pour discréditer les soutiens de l’Ukraine. Il arrive aussi à de grandes entreprises de s’y prêter, généralement à la suite d’un scandale, afin de redorer leur image.
À l’inverse, la « mésinformation » naît plutôt d’un malentendu, d’une imprécision ou d’un manque de vérification. Elle constitue une zone grise où l’on publie ou relaye quelque chose de faux ou d’inexact de façon non-intentionnelle. Cela peut résulter d’un journaliste ou média trop pressé, d’un influenceur mal informé, d’un proche qui partage une info erronée en pensant bien faire… Le résultat est le même : l’erreur circule, et parfois s’enracine.
Apprendre à faire la différence entre ces diverses formes de manipulation, c’est déjà un premier pas vers une consommation plus éclairée de l’information.
Les différents types de fake news
Toutes les fake news ne se valent pas, ni par leur intention, ni par leur forme. Certaines relèvent du pur appât à clics, ou « clickbait ». Ce sont ces titres sensationnalistes, souvent en majuscules, qui promettent des révélations incroyables, pour attirer du trafic. L’objectif est ici mercantile, pas idéologique.
D’autres s’inscrivent dans des logiques bien plus préoccupantes, comme la « propagande ». Elle vise à influencer l’opinion publique, au service d’un agenda de nature politique et/ou géopolitique. États, partis, et militants en abusent pour manipuler les perceptions des électeurs et citoyens, discréditer un adversaire ou semer la division.
Il existe aussi des fake news fondées sur « l’imposture » : un faux compte, une fausse source, une image truquée… L’objectif est de duper en se faisant passer pour une autorité fiable.
Enfin, certaines fausses informations naissent dans un esprit humoristique, comme « la satire ou la parodie ». Si leur but initial n’est pas de tromper, leur diffusion hors contexte peut induire en erreur, surtout quand les lecteurs ne ressentent pas le second degré.
Les images aussi peuvent tromper
Une image vaut mille mots… mais encore faut-il qu’elle dise la vérité. Sur internet, les contenus visuels peuvent être tout aussi mensongers que les textes, parfois même plus redoutables. Deux grands cas de figure se présentent.
- D’abord, il y a les images et vidéos intentionnellement falsifiées : photomontages grossiers ou très sophistiqués, vidéos coupées pour changer le sens d’un propos, reportages mis en scène, ou encore contenus générés par l’IA. Avec l’émergence des « deepfakes », il devient possible de faire dire n’importe quoi à n’importe qui.
- Ensuite, il y a les images détournées de leur contexte. Une photo ancienne, reprise sans sa légende d’origine, peut soudain illustrer un conflit actuel ou une catastrophe imaginaire. Le piège fonctionne parce que le visuel semble authentique… et il l’est, mais il raconte une toute autre histoire.
Où sont diffusées les fake news ?
Les réseaux sociaux en tête
La désinformation ou mésinformation n’a rien de nouveau : rumeurs, fausses nouvelles ou propagande ont toujours circulé. Mais avec internet, un nouveau monde s’est ouvert : celui d’une information instantanée, virale, sans filtre. Les réseaux sociaux en sont devenus le principal terrain de jeu. Espaces d’expression libre, ils ont bouleversé les modes de publication, de partage et d’accès aux actualités. Tout le monde peut poster, réagir, diffuser.
D’autant qu’ils échappent aux obligations éditoriales qui pèsent sur les médias traditionnels, car leurs réglementations répondent à des logiques privées.
Les réseaux sociaux ne filtrent pas selon la véracité, mais selon l’engagement. Et il suffit parfois de peu : une publication sensationnaliste, dopée par les algorithmes, relayée par quelques comptes influents, pour devenir virale. Plus un contenu fait réagir, plus il est visible.
Ajoutez à cela les « trolls », ces utilisateurs qui provoquent ou manipulent pour semer la discorde, les « bots », ces comptes automatisés capables de publier et de partager en masse, et désormais, les « deepfakes » ou vidéos ultra-réalistes créées par IA, qui prêtent des propos ou des actions imaginaires à des figures publiques, et vous avez un cocktail créant une machine redoutable, capable de modeler les perceptions à grande échelle.
Les résultats du Baromètre des médias 2025 confirment la place toujours plus grande des fake news : 64 % des français ne font pas confiance aux réseaux sociaux pour les informer correctement, et 59 % appellent ainsi à les contrôler davantage pour « permettre à chacun de mieux s’informer ». Par ailleurs, selon une étude de l’Institut Reuters, TikTok (56 %) et X (59 %) sont les réseaux sociaux où les utilisateurs ont le plus de mal à évaluer la véracité des informations en circulation.
Le code européen de bonnes pratiques renforcé contre la désinformation
Face à l’avalanche de fausses informations en ligne, l’Union européenne a choisi de muscler son approche. En 2022, elle a ainsi renforcé son code des bonnes pratiques lancé en 2018, dans lequel les grands acteurs de l’industrie numérique se sont engagés sur la voie de l’autorégulation. Objectif : endiguer la désinformation sans brider la liberté d’expression.
Les signataires – dont Meta, Google, TikTok, Microsoft, Twitter (avant son retrait) – ont alors promis une meilleure coopération avec les fact-checkeurs, une plus grande transparence sur les algorithmes et un engagement à priver de revenus publicitaires les sites d’infox. Mais ce code n’est pas contraignant. En mai 2023, Elon Musk, fraîchement propriétaire de Twitter, rebaptisé X, s’en est retiré. Il a dans la foulée démantelé les équipes de modération et d’éthique de la plateforme, réduisant à néant son implication dans cette initiative.
Plus récemment, en janvier 2025, l’European Fact-Checking Standards Network (EFCSN) a exprimé son inquiétude concernant la diminution des engagements de certaines plateformes (notamment Google et LinkedIn), vis-à-vis du code de bonnes pratiques. Un nouveau coup dur pour la lutte contre les fake news.
Les réseaux sociaux ne sont pas seuls coupables
On pense souvent que les fake news naissent dans l’ombre de comptes anonymes ou de sites douteux. Pourtant, elles peuvent aussi venir de sources a priori crédibles. Certains médias ou personnalités, dotés d’une aura de légitimité, peuvent ainsi diffuser des infox.
L’exemple du film Hold Up est frappant. Présenté en 2020 comme un documentaire sérieux sur la crise du Covid-19, il a connu un succès viral… avant d’être « débunké ». Pourquoi tant de gens l’ont cru ? En grande partie grâce au parcours de son réalisateur, Pierre Barnérias, ancien journaliste pour France 3 et Arte.
Heureusement, pour contrer ces dérives, les grands médias ont renforcé leurs cellules de fact-checking. Ces équipes spécialisées enquêtent, vérifient, recoupent les sources et rétablissent les faits.
Le travail des fact-checkeurs est une boussole dans la tempête informationnelle.
Qui produit les fake news, et dans quel but ?
Au-delà des fake news propagées à la va-vite par quelques internautes mal inspirés, il y a aussi de la désinformation organisée, bien ficelée. Ces infox là sont le fruit d’un travail réfléchi, parfois même industrialisé.
Le maître des fake news, Trump, en a fait un usage emblématique, en accusant tous ses opposants de son propre comportement – on appelle cela la « projection » en psychologie – popularisant l’expression « You’re fake news » pour discréditer les journalistes et éteindre les critiques. Cette stratégie d’attaque frontale des médias, souvent reprise ailleurs, s’inscrit dans une logique : semer le doute pour mieux imposer sa propre version des faits.
Mais au-delà de cette figure médiatique, de véritables agences de désinformation ont émergé. Travaillant dans l’ombre, elles produisent et diffusent des récits trompeurs, souvent sur commande. Leur mission ? Offrir un « blanchiment narratif » à leurs clients. Qui paie ? Des entreprises soucieuses de détourner l’attention sur leurs pratiques, des personnalités publiques en quête de réhabilitation, ou encore des États qui veulent affaiblir un rival ou améliorer leur image à l’international.
Que dit la loi ?
Après le code de bonnes pratiques contre la désinformation, non contraignant, l’Union européenne a adopté un nouveau texte bien plus ambitieux : le Digital Services Act, ou DSA, entré en vigueur en août 2023. Son but ? Remettre de l’ordre dans la jungle des grandes plateformes, et limiter la diffusion de contenus nocifs : fake news, discours haineux, manipulations électorales, atteintes aux droits humains…
Pour cela, le DSA impose aux entreprises numériques – GAFAM en tête – de nouvelles obligations de transparence et de modération. Parmi les mesures phares :
- Les plateformes doivent expliquer le fonctionnement de leurs algorithmes : pourquoi tel contenu vous est-il recommandé ? Pourquoi celui-là est-il devenu viral ?
- L’exploitation des données sensibles à des fins publicitaires (origine ethnique, orientation sexuelle, opinions politiques…) leur est désormais interdite.
- Le signalement des contenus illicites est facilité, avec l’obligation pour les plateformes de les traiter rapidement et de répondre aux utilisateurs.
- Des « signaleurs de confiance », comme la plateforme Pharos ou des associations désignées par l’Arcom en France, voient leurs alertes traitées en priorité.
En outre, des « mesures renforcées » s’appliquent qu’aux très grandes plateformes en ligne (VLOPs) et aux très grands moteurs de recherche (VLOSEs), qui atteignent au moins 45 millions d’utilisateurs actifs mensuels dans l’UE, soit environ 10 % de la population européenne. Une fois ce seuil franchi, ces sociétés doivent :
- Évaluer et réduire les risques systémiques, comme la désinformation ou les atteintes aux droits fondamentaux ;
- Réaliser des audits indépendants annuels sur leur conformité au DSA ;
- Donner un accès plus large aux données aux chercheurs accrédités ;
- Nommer un responsable de la conformité.
Comment reconnaître une fake news ?
Les fake news ne se présentent jamais en disant « Bonjour, je suis un mensonge » : elles se camouflent, séduisent, jouent sur les émotions, les biais cognitifs, et les automatismes de lecture. Mais avec un peu de méthode et un bon esprit critique, il vous est possible de les repérer. Voici quelques pistes pour affûter votre vigilance.
1. Vérifiez l’URL
Première étape : jetez un œil à l’adresse du site. Le nom de domaine est un excellent indicateur. Les sites sérieux ont généralement une URL claire, souvent liée à un média connu (.fr, .org, .edu, etc.) doté d’un flux RSS. Méfiez-vous des noms à rallonge, suspects – des fautes d’orthographe, des lettres en double etc.), bourrés de chiffres, ou qui imitent un média existant (par exemple : mediapart.fr.co).
2. Faites attention aux sources
Avant de croire une information, posez-vous la question : qui l’a écrite ? Est-ce un journaliste identifié ? Un expert reconnu ? Ou un compte anonyme ? Et surtout, quels sont les faits avancés, sur quoi reposent-ils ? Une allégation qui ne s’appuie sur aucune source identifiable ou sur un « on m’a dit que… » mérite toujours une saine suspicion !
Prenez aussi l’habitude de regarder la date de publication : certaines infox resurgissent des mois, des années plus tard, en étant formulées comme si elles étaient d’actualité. Un vieux tweet ou un article périmé peuvent relancer des rumeurs infondées.
3. Soyez attentif au support
Le site ou la plateforme qui publie l’information a son importance. Est-ce un média reconnu, soumis à une charte déontologique, qui vérifie ses sources et ses données avant de poster ? Un site institutionnel ? Ou au contraire, un blog d’opinion, un forum, ou une page inconnue ? Savoir qui publie est aussi important que savoir ce qui est publié.
4. Réfléchissez à l’objectif
Derrière chaque contenu, il y a une intention. Celle de vous informer objectivement, de vous divertir, ou de vous influencer. Demandez-vous : « à qui profite cette information » ? L’auteur a-t-il un intérêt politique, économique ou idéologique à présenter les choses de cette manière, à ne pas dire la vérité ? Si le contenu est anonyme ou publié sans aucune signature, c’est souvent un indice de manque de transparence.
Et parfois, il s’agit tout simplement… d’une blague. Les sites parodiques comme Le Gorafi ou Nordpresse imitent les codes de l’information pour faire de l’humour. Problème : quand le second degré n’est plus perçu, la satire devient infox malgré elle.
5. Observez la forme
La forme trahit souvent le fond. Un titre sensationnaliste, en majuscules, avec des points d’exclamation, un ton outrancier ou excessivement alarmiste ? Prudence. De même, si le site est mal rédigé, truffé de fautes, de publicités douteuses ou d’alertes clignotantes, il y a fort à parier qu’il ne s’agit pas d’une source fiable.
Vérifiez également si le site est sécurisé (présence du petit cadenas dans la barre d’adresse), s’il comporte des mentions légales, une page de contact, des indications sur la rédaction ou la direction éditoriale. Si l’apparence professionnelle d’un site inspire confiance, l’absence de mentions obligatoires doit aussitôt éveiller vos soupçons. D’ailleurs, si un jour vous créez vous-même un site, prenez garde à ces aspects qui peuvent changer radicalement la façon dont les internautes perçoivent vos contenus !
6. Lisez quelques commentaires
Parfois, les commentaires en bas de l’article ou sur les réseaux sociaux peuvent être éclairants. Ils peuvent contenir des liens vers des articles de fact-checking, des témoignages contradictoires, ou attirer l’attention sur une erreur. Attention toutefois : les commentaires sont eux-mêmes des territoires mouvants, peu modérés, où se croisent faux profils, trolls, et internautes parfois eux-mêmes dupés. À lire, donc, avec un certain recul.
7. Vérifiez ce qu’en disent les autres sites
Une bonne habitude à adopter : ne jamais s’arrêter à une seule source. Si l’information est sérieuse, d’autres médias en parlent. Si elle n’apparaît nulle part ailleurs, ou seulement sur des sites à la réputation douteuse, c’est un signal d’alerte.
Comparez les traitements, les angles, les chiffres. Qui recoupe les faits ? Qui propage ce récit ? Une info vérifiée résiste à l’épreuve de la pluralité des sources.
8. Faites preuve d’esprit critique
C’est sans doute le point le plus important : ne laissez jamais votre bon sens au vestiaire. Les fake news sont faites pour manipuler vos émotions. Elles cherchent à provoquer la colère, la peur, l’indignation ou la jubilation.
Même face à un expert autoproclamé, méfiez-vous des arguments d’autorité sans preuves tangibles.
Cultivez avant tout votre curiosité, confrontez les points de vue, croisez les sources, explorez d’autres articles sur le même sujet, notamment sur des sites reconnus. Cela vous permettra de mieux comprendre les enjeux, de nuancer votre point de vue… et de ne pas tomber dans le piège tendu par les propagateurs d’infox.
Comment repérer les fausses images ?
Vous souvenez-vous de cette image devenue virale du Pape François vêtu d’une grosse doudoune blanche façon rappeur new-yorkais ? Une fake news drôle, surprenante… tout ce qu’il y a de plus faux. Générée par une intelligence artificielle, elle a dupé des millions de personnes à travers le monde. Et c’est bien là le cœur du problème : nous croyons ce que nous voyons. Or, aujourd’hui, ce que nous voyons n’est plus nécessairement réel.
Les images, longtemps considérées et utilisées comme des preuves irréfutables, sont désormais manipulables, fabriquées, et modifiables à volonté. Entre les deepfakes, les photomontages et l’IA générative, l’œil humain doit redoubler de vigilance.
Voici quelques réflexes simples pour ne pas tomber dans le piège du faux visuel !
- Observez les détails de l’image : Prenez le temps de regarder vraiment. Zoomez, scrutez les éléments en arrière-plan, les mains, les regards, les objets. L’intelligence artificielle, bien que bluffante, se trompe encore (jusqu’à quand ?) sur les détails : un doigt en trop, des lunettes qui fusionnent avec la peau, des arrière-plans incohérents, des reflets ou des ombres improbables.
- Vérifiez la source de l’image : Qui a pris la photo ? Qui est son auteur ? Quand a-t-elle été publiée pour la première fois, et sur quel site ? Comme pour les textes ou les articles, connaître l’origine d’une image est essentiel.
- Utilisez la recherche inversée : Un réflexe simple, mais puissant : faire une recherche inversée d’image. La plupart des navigateurs proposent cette fonction via un simple clic droit sur l’image. C’est utile, et totalement gratuit ! Elle vous permet de retrouver où et quand l’image a été publiée auparavant.
- Prêtez attention aux relais : Une image ou vidéo est-elle reprise par des médias sérieux ? Est-elle diffusée par des journalistes, des institutions ? Ou bien circule-t-elle uniquement sur des comptes anonymes ou des sites au nom douteux et qui sont mal ou dé- référencés ? L’origine de la diffusion donne de précieuses indications sur sa fiabilité. N’oubliez pas que l’effet viral n’est pas une preuve de véracité. Au contraire, les fake news ont tendance à être plus partagées que les vraies, de nos jours !
S’il est vrai qu’internet, et en particulier les réseaux sociaux, tiennent parfois de la jungle informationnelle où le meilleur côtoie le pire, ces quelques réflexes peuvent vous permettre de vous y retrouver. Pour ne pas tomber dans le piège, ne croyez pas d’emblée ce qui vous semble être trop beau ou trop incroyable, et vérifiez bien la provenance et les sources de vos informations !
M’évaluer, me former,
progresser…
Évaluer ma présence
en ligne
Répondez à notre questionnaire et obtenez un bilan de vos actions et des conseils personnalisés pour améliorer votre stratégie numérique. 10 minutes suffisent !
Cet autodiagnostic vous permet d’évaluer gratuitement :
- Votre stratégie de communication
- Votre identité numérique et votre niveau de cybersécurité
- Votre développement commercial
Bénéficier de formations et d’ateliers gratuits
Des ateliers, webinaires, formations et coachings gratuits animés par des experts du numérique pour faire décoller votre activité en ligne !
De nombreuses thématiques au choix : créer votre site internet, vendre en ligne, lancer des emailings, améliorer votre référencement, etc.
Et ce, quel que soit votre niveau !